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Affichage des articles du novembre, 2016

Et l'Escargote découvrit... le triathlon en salle (yes, you can)

Celles et ceux qui me suivent depuis un moment (c'est d'ailleurs l'occasion de vous dire merci! On sait combien il est difficile de suivre un escargot sans le dépasser) savent que je ne suis pas une grande fana de la salle de sport. L'Escargote est plutôt un animal outdoor. Il arrive pourtant que la salle, ce soit mieux que rien. Au hasard, par exemple lorsque le temps conjugue vent et pluie et que prendre son vélo dans ces conditions revient à descendre les rues de ma ville juchée sur une savonnette. Quant à ajouter une sortie course à pied, ce sont des choses que l'on fait lorsqu'on n'a pas besoin de soigner une cheville. J'opte donc pour le fitness en me disant que ce sera tout ça de gagné pour le mental sur mes futurs trails longs. Flash-back. Cet été, pour ne rien faire comme tout le monde, j'ai fait une grosse bronchite. Pour me remonter le moral, je m'étais acheté un magazine de tri qui conseillait aux débutants, dont je suis, de tester

Mes cinq astuces pour un hiver sportif

Allez, je m'y mets aussi, aux 5 trucs bidules pour garder la motivation en hiver. Sauf que je ne vous ferai pas miroiter le plaisir qu'il y a à sortir dans la nuit et le froid se dégourdir les jambes: seuls ceux qui l'on testé savent le bien-être et la satisfaction que cela procure. Quant aux autres, aux récalcitrants, "on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif", disait ma grand-mère. D'autant plus qu'en hiver, y a plein d'autres trucs à faire, si on veut bouger. Hormis la salle de gym, parce que ça, vous êtes assez grands pour y penser tout seul. Allergiques au 2e degré s'abstenir. 1. Je redécouvre la piscine couverte Frileuses et frileux, mon conseil numéro Un s'adresse à vous. A toi, oui, toi là-bas qui rajustes ton écharpe et t'emmitoufles dans ta polaire. Aussi paradoxal que cela paraisse, la piscine est un sport d'hiver. Parce que les piscines sont chauffées (et même bigrement bien chauffées, si j'en crois la

Le Marathon m'a appris à courir sous la pluie

"Mais comment tu fais pour aimer courir sous la pluie?", me demande l'homme toute à l'heure, me voyant attraper mes baskets et ma veste gore-tex alors qu'un rideau de pluie s'abattait sur la ville. J'ai répondu par un éclat de rire en expliquant que quand j'étais petite, je n'avais pas le droit de sauter dans les flaques d'eau, et que depuis, je profitais à fond. N'empêche que je me la suis reposée en courant, cette question: qu'est-ce qui fait que j'ai autant de plaisir à courir par tous les temps, et même de nuit? A ma grande surprise, la réponse a jailli: le marathon! Avant le marathon, je choisissais mes sorties. S'il pleuvait trop, je restais courageusement à l'intérieur, décidant que le fitness, cela faisait aussi l'affaire. Et puis, un jour, je n'ai plus eu le choix. J'avais, sur la table, mon plan d'entraînement pour mon premier marathon. Pas question de rater une sortie. La sortie longue du

En randonnée

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Prise d'un urgent besoin de décompresser, j'ai pris mes cliques et mes claques, direction la montagne. Pas la très haute: celle qui m'est accessible avec une chevillère.  J'ai pris mon temps pour monter, admirer, savourer et redescendre. Le tout par un beau soleil d'automne, avant... la neige annoncée pour le lendemain.   En redescendant en ville, j'ai eu l'impression de revenir d'une semaine de vacances. La montagne, en automne, c'est magique.